Français Pensée de la journée
Apropos Moustaki: je ne savais pas que c'était lui qui avait écrit le texte de la chanson 'Milord' d'Edith Piaf - en ce moment on parle beaucoup d'elle à la télé - à cause du 50tième anniversaire de sa mort!
Val
Val
Oh, je viens de lire qu'elle avait même une 'histoire d'amour' avec lui dans les années 50... ![]()
(ce que je ne savais pas non plus d'ailleurs 
...)
Ma Solitude
Pour avoir si souvent dormi
Avec ma solitude
Je m'en suis fait presqu'une amie
Une douce habitude
Ell' ne me quitte pas d'un pas
Fidèle comme une ombre
Elle m'a suivi çà et là
Aux quatre coins du monde
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Quand elle est au creux de mon lit
Elle prend toute la place
Et nous passons de longues nuits
Tous les deux face à face
Je ne sais pas vraiment jusqu'où
Ira cette complice
Faudra-t-il que j'y prenne goût
Ou que je réagisse?
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Par elle, j'ai autant appris
Que j'ai versé de larmes
Si parfois je la répudie
Jamais elle ne désarme
Et si je préfère l'amour
D'une autre courtisane
Elle sera à mon dernier jour
Ma dernière compagne
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
(ce que je ne savais pas non plus d'ailleurs ...) Ma Solitude
Pour avoir si souvent dormi
Avec ma solitude
Je m'en suis fait presqu'une amie
Une douce habitude
Ell' ne me quitte pas d'un pas
Fidèle comme une ombre
Elle m'a suivi çà et là
Aux quatre coins du monde
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Quand elle est au creux de mon lit
Elle prend toute la place
Et nous passons de longues nuits
Tous les deux face à face
Je ne sais pas vraiment jusqu'où
Ira cette complice
Faudra-t-il que j'y prenne goût
Ou que je réagisse?
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Par elle, j'ai autant appris
Que j'ai versé de larmes
Si parfois je la répudie
Jamais elle ne désarme
Et si je préfère l'amour
D'une autre courtisane
Elle sera à mon dernier jour
Ma dernière compagne
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
..
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De la propreté
Il fut un temps où le roi sur le trône pouvait être observé ;
Les temps ont bien changé car depuis l’on verrouille
La porte afin de ne pas être, debout ou assis, regardé.
Depuis, aussi, une attitude toute d’indélicatesse
S’est installée chez certains, comme fil sur la quenouille.
En effet beaucoup manque de propreté et de finesse
Malgré grands airs et discours chargés de paresse,
Et après avoir vidé ces réserves dites naturelles,
Ils quittent ce lieu de recueillement au plus tôt
Par crainte d’être, peut-être voleur démasqué,
Découvert en leur manque de nettoyage de peau,
De ces mains ayant touché quelques parties cachées.
Sans plus de gêne, ils viennent vous tendre la main,
Vous remettre le bonjour de l’arrivisme malsain,
Force sourire à votre vue pour vous épater ;
Grande pompe par présentation interposée !
Ces gens, plus bas en leur esprit, que le commun
Ne peuvent espérer en mon plus simple respect.
Ils ne sont qu’image de leur mécréante stupidité
Où le paraître les amène à gonfler leur aspect
Cachant sous de douteux habillage et parfum
Leur absolue ignorance de la simple propreté.
~ poème publié par vanten en 2008 ~
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De la propreté
Il fut un temps où le roi sur le trône pouvait être observé ;
Les temps ont bien changé car depuis l’on verrouille
La porte afin de ne pas être, debout ou assis, regardé.
Depuis, aussi, une attitude toute d’indélicatesse
S’est installée chez certains, comme fil sur la quenouille.
En effet beaucoup manque de propreté et de finesse
Malgré grands airs et discours chargés de paresse,
Et après avoir vidé ces réserves dites naturelles,
Ils quittent ce lieu de recueillement au plus tôt
Par crainte d’être, peut-être voleur démasqué,
Découvert en leur manque de nettoyage de peau,
De ces mains ayant touché quelques parties cachées.
Sans plus de gêne, ils viennent vous tendre la main,
Vous remettre le bonjour de l’arrivisme malsain,
Force sourire à votre vue pour vous épater ;
Grande pompe par présentation interposée !
Ces gens, plus bas en leur esprit, que le commun
Ne peuvent espérer en mon plus simple respect.
Ils ne sont qu’image de leur mécréante stupidité
Où le paraître les amène à gonfler leur aspect
Cachant sous de douteux habillage et parfum
Leur absolue ignorance de la simple propreté.
~ poème publié par vanten en 2008 ~
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Bien qu'on puisse jouer sur les mots, chère Hisun - possiblement nous avons l'idée concordante
(par des raisons mentionnées ci-dessus) en ce qui concerne notamment le vers dernier ...
sur "ces gens ... (qui) ne peuvent espérer en mon plus simple respect".
(par des raisons mentionnées ci-dessus) en ce qui concerne notamment le vers dernier ...
sur "ces gens ... (qui) ne peuvent espérer en mon plus simple respect".
Tu as raison, chère Shenaya, notre jeu de mots
« reflété par les poètes dans leur poésie »
montre en fait notre propre image mentale sur de
choses qui sont obliques ou même insupportable –
Aujourd'hui, comme alors !
... que je trouve merveilleux se faire comprendre!!
.
hisun
.*.
« reflété par les poètes dans leur poésie »
montre en fait notre propre image mentale sur de
choses qui sont obliques ou même insupportable –
Aujourd'hui, comme alors !
... que je trouve merveilleux se faire comprendre!!
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hisun
.*.
(Ça fait du bien 'se comprende à demi mots')
...
...
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Un atome dans l’œil, et l’être est misérable ;
Un seul point noir au cœur, et l’homme est tourmenté :
plus un sens et exquis, plus il est vulnérable,
car la perfection fait la fragilité.
~ H.-F. Amiel ~
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